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J’ai tout pour être heureuse… alors pourquoi je me sens vide?



Elle est arrivée en coaching avec un sourire bien en place. Une femme brillante, cadre dans une grande entreprise, mère de deux enfants, en couple avec un partenaire aimant et impliqué.


Elle avait tout ce qu’on décrit comme les signes extérieurs du bonheur : une carrière florissante, une maison Pinterest, un agenda rempli de voyages, de soupers entre amis et d’activités familiales.


Et pourtant, elle m’a dit ceci, les larmes au bord des yeux :« J’ai tout… mais à l’intérieur, je me sens vide. »


Ce n’est pas rare.

Et c’est souvent là que commence le vrai travail.



Quand la réussite pèse plus qu’elle n’élève


Dans une société qui valorise la performance, beaucoup de femmes ont appris à cocher toutes les cases — réussite professionnelle, famille épanouie, couple équilibré, vie sociale active. Mais peu ont appris à s’arrêter pour demander :


Est-ce que moi, je suis encore là-dedans?


Ce vide intérieur n’est pas un échec. C’est souvent un signal. Un appel à revenir à soi.


À ralentir pour entendre ce qui ne crie pas.


À se poser des questions que personne ne nous a jamais vraiment posées :


  • Qu’est-ce qui me nourrit vraiment, au-delà de ce que je réussis?

  • À quel moment dans ma journée est-ce que je me sens vivante, allumée, libre?

  • À force d’être tout pour tout le monde… est-ce que je me suis oubliée?



Le piège de l’image parfaite


Dans le miroir social, tout semble impeccable. Mais dans l’intime, il manque quelque chose.

Un sens.

Une connexion.

Une respiration.


C’est souvent ce que mes clientes viennent chercher en coaching : pas des solutions prêtes à porter, mais un espace sécuritaire pour se déposer, se questionner et oser aller au-delà des apparences. Pour reconnecter avec qui elles sont, pas seulement avec ce qu’elles accomplissent.


Et c’est là que tout change.



Et si c’était normal de ressentir ça?


Ce sentiment de vide n’est pas un bug à corriger. C’est un message.

Et si, plutôt que d’y résister ou de s’en culpabiliser, on l’écoutait?


Je t’invite à te poser, toi aussi, ces quelques questions :


  • Si je pouvais tout arrêter pendant 24h, sans conséquences, qu’est-ce que je ferais?

  • Quelles parties de moi ai-je mises en veille pour tenir ce rôle que je joue si bien?

  • Et si je n’avais plus rien à prouver… qu’est-ce qui resterait?



Oser s’écouter pour mieux se retrouver


Ce chemin vers soi est peut-être le plus exigeant. Mais aussi le plus libérateur. Il ne s’agit pas de tout changer. Il s’agit de se recentrer. De remettre de l’alignement, de l’authenticité et du sens dans une vie qu’on a trop souvent construite pour les autres.


Et si tu te reconnais dans ces mots, sache que tu n’es pas seule.

Et surtout : tu n’as pas à choisir entre réussir et te sentir vivante.


Tu ressens ce vide même si "tout va bien" en surface?

Et si c’était le moment de t’offrir un espace pour te retrouver, loin des attentes extérieures?


Réserve une séance découverte gratuite — un moment juste pour toi, sans pression, sans masque.


 
 
 

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